Le design consiste à placer chaque élément d’un système de façon à ce qu’il soit connecté de manière optimale aux autres éléments, c'est-à-dire là où ses besoins seront comblés et ses productions utilisées.
Dans votre intérieur, le frigo est dans la cuisine et pas dans la salle d'eau, le gros sel près de la gazinière, les glaces dans le congélateur .
Les toilettes ne sont pas dans la cuisine, les huiles essentielles et vos produits ménagers sont hors de portée des enfants. Et tant mieux, c'est plus pratique et plus sécurisant .
Pour votre extérieur, utilisez les mêmes logiques.
Les aromatiques proches de la porte ou de la fenêtre. Tout en prenant en compte leurs besoins : composition du sol, taux d'humidité, luminosité .
La terrasse à proximité de la porte ou de la porte-fenêtre, de votre barbecue en dur, votre four à pain, votre cuisine d'été.
Et selon vos besoins, la transformer en cocon, lui donner un horizon accueillant pour vos mirettes et les petits oiseaux.
Ajouter de quoi faire la sieste et la fête .
Le potager, proche de vos réserves d'eau ou inversement. Positionné proche de la maison pour pas oublier (avoir la flemme) d'aller arroser quand c'est nécessaire .
Le compost, comme le poulailler, près de la maison et du potager .
Le compost sera mieux remplis et plus facilement redistribué à votre sol
.
Le summum :
les cultures en trous de serrure !
La litière du poulailler nourrira plus facilement votre sol et vos poulettes apprécieront vos visites quotidiennes .
Le summum number two :
un potager incluant dans sa
rotation de culture, le poulailler !
Vous vous êtes demandé pourquoi j'ai choisi cette photo, de quatre godillots au dessus de l'eau, pour illustrer « l'emplacement relatifs" alors que le lien n'est pas évident ?
Je vous raconte !
J'ai pris cette photo, assise sur le port de La Rochelle, à un moment où je me disais que j'étais exactement là où je devais être. Pour la ville, pour la région, ses habitants et pour l'instant partagé avec mon fils .
J'ai habité, visité plein d'endroits, mais avant ce moment, je n'avais jamais vraiment ressenti que j'étais exactement là où je devais être, faisais pleinement ce que j'avais à faire et vivais à fond ce que j'avais à vivre .
Cette image pour vous raconter que l'emplacement relatif nous concerne aussi.
Vivons-nous pleinement ce qu’on a à vivre ?
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